Page 7 - Métier commerçant
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L’épicerie
au temps des marchés publics
En milieu urbain, les épiceries complètent l’offre de denrées des marchés publics. On y vend des marchandises
sèches : sucre, thé, café, épices, fruits secs, noix, condiments et farines. On y écoule aussi des produits en conserve,
des boissons alcoolisées ou non, des biscuits présentés dans leur caisse en bois ainsi que des objets non comestibles
comme ceux qu’on a accrochés au plafond dans le souci d’occuper tout l’espace disponible. Selon la saison,
l’épicier ajoute à sa marchandise des fruits et des légumes de consommation courante. Les épiceries, comme
celle-ci du quartier Hochelaga à Montréal, sont des entreprises familiales. Elles sont situées à peu de distance
des marchés publics ou dans les quartiers périphériques en formation.
Photo : auteur inconnu, vers 1890, Archives de l’Atelier d’histoire Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, COMM.QHM6.
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au temps des marchés publics
En milieu urbain, les épiceries complètent l’offre de denrées des marchés publics. On y vend des marchandises
sèches : sucre, thé, café, épices, fruits secs, noix, condiments et farines. On y écoule aussi des produits en conserve,
des boissons alcoolisées ou non, des biscuits présentés dans leur caisse en bois ainsi que des objets non comestibles
comme ceux qu’on a accrochés au plafond dans le souci d’occuper tout l’espace disponible. Selon la saison,
l’épicier ajoute à sa marchandise des fruits et des légumes de consommation courante. Les épiceries, comme
celle-ci du quartier Hochelaga à Montréal, sont des entreprises familiales. Elles sont situées à peu de distance
des marchés publics ou dans les quartiers périphériques en formation.
Photo : auteur inconnu, vers 1890, Archives de l’Atelier d’histoire Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, COMM.QHM6.
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