Page 36 - Le français au bureau
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éviations, sigles,
acronymes et symboles
L’abréviation est la forme réduite d’un mot résultant du retranchement d’une partie
des lettres de ce mot. Les sigles et les acronymes sont des types d’abréviations.
Certains symboles alphabétiques s’apparentent aux abréviations.
Un sigle est une suite d’initiales de plusieurs mots qui forme un mot unique. Un
sigle se prononce alphabétiquement, c’est-à-dire avec les noms des lettres qui
le composent, ou syllabiquement, comme un mot ordinaire. Voir p. 332.
Un acronyme est un sigle prononcé comme un mot ordinaire (ACDI, Unesco, sida),
ou un mot formé de syllabes de mots différents (AFNOR, radar, algol, pergélisol).
Voir p. 332.
Un symbole est un signe conventionnel, qui peut notamment consister en une ou
plusieurs lettres, correspondant à une réalité, à un élément, à une unité de mesure, à
une opération, etc. (%, $, QC, km, Hz, H2O). Certains signes typographiques s’appa-
rentent à des symboles (&, *, §). Voir p. 336.
En règle générale, il faut abréger le moins possible pour ne pas nuire à la clarté et
à la compréhension du texte. Les abréviations sont plutôt réservées aux notes, aux
commentaires, aux indications de sources bibliographiques, aux index, aux tableaux,
aux annuaires, aux manuels techniques et scientifiques. Dans les communica-
tions courantes entre collègues, elles sont admises, mais elles dénotent une certaine
familiarité. Si un mot possède plusieurs abréviations, il est d’usage d’utiliser
toujours la même au sein d’un même document.
acronymes et symboles
L’abréviation est la forme réduite d’un mot résultant du retranchement d’une partie
des lettres de ce mot. Les sigles et les acronymes sont des types d’abréviations.
Certains symboles alphabétiques s’apparentent aux abréviations.
Un sigle est une suite d’initiales de plusieurs mots qui forme un mot unique. Un
sigle se prononce alphabétiquement, c’est-à-dire avec les noms des lettres qui
le composent, ou syllabiquement, comme un mot ordinaire. Voir p. 332.
Un acronyme est un sigle prononcé comme un mot ordinaire (ACDI, Unesco, sida),
ou un mot formé de syllabes de mots différents (AFNOR, radar, algol, pergélisol).
Voir p. 332.
Un symbole est un signe conventionnel, qui peut notamment consister en une ou
plusieurs lettres, correspondant à une réalité, à un élément, à une unité de mesure, à
une opération, etc. (%, $, QC, km, Hz, H2O). Certains signes typographiques s’appa-
rentent à des symboles (&, *, §). Voir p. 336.
En règle générale, il faut abréger le moins possible pour ne pas nuire à la clarté et
à la compréhension du texte. Les abréviations sont plutôt réservées aux notes, aux
commentaires, aux indications de sources bibliographiques, aux index, aux tableaux,
aux annuaires, aux manuels techniques et scientifiques. Dans les communica-
tions courantes entre collègues, elles sont admises, mais elles dénotent une certaine
familiarité. Si un mot possède plusieurs abréviations, il est d’usage d’utiliser
toujours la même au sein d’un même document.