• 1
• Marginal : 2

• 1 : 6,5 (5,6 - 7,4)
• 2 est : 5,7 (4,6 - 6,9) 2 ouest : 4,0 (2,8 - 5,2)

• 1 : 1 008 (896 - 1 120)
• 2 est : 1 120 (1 012 - 1 228) 2 ouest : 1 011 (903 - 1 119)

• 1 : 6,1 (3,6 - 8,6)
• 2 est : 4,3 (2,9 - 5,8) 2 ouest : 4,8 (3,3 - 6,2)

• 1 : 149 (137 - 162)
• 2 est : 140 (111 - 169) 2 ouest : 113 (84 - 142)

• 1 : 185 (176 - 193)
• 2 est : 184 (161 - 207) 2 ouest : 157 (134 - 181)

• 1 : 2 103 (1 947 - 2 258)
• 2 est : 1 982 (1 720 - 2 244) 2 ouest : 1 702 (1 440 - 1 964)

• 1 : 5 = 3 = 4 = 0
• 2 est : 4 2 ouest : 3 = 5

• 1 : B = C > A = D
• 2 est : E 2 ouest : D = C

• 1 : 1A > 5A = R
• 2 est : 5A 2 ouest : R = 1A

• 1 : F > M
• 2 est : M 2 ouest : F = G = M

• 1 : 4,5 à 8
• 2 est : non disponible 2 ouest : 6,0

• 1 : 30 > 40 = 20
• 2est : 40 2ouest : 20

• 1 : MU > MD
• 2 est : MD 2 ouest : MU

• 1 : 06 = 11 = 01 = 21
• 2 est : 06 2 ouest : 01 = 06

• Sol moyennement ou très profond qui caractérise les basses terres humides et les stations riches et bien drainées aux endroits plus élevés (BB150)
• Texture fines et moyennes-fines avec un drainage 2 à 3
• Textures moyennes à grossières avec un drainage 2 à 4
• pH optimal 5,5 à 7 (2)
• Dans les érablières établies dans du sol de préférence calcaire, les plaines alluviales et les plis de terrrain bien protégés des vents froids du nord (BB108, BB170)

• 1 : SU = CP = HP = DP
• 2 est : non disponible 2 ouest : CP

• 1 : CT = BR = FR
• 2 est : non disponible 2 ouest : CT

• Habituellement en association avec d'autres feuillus (érables, ormes et frêne noir) ou des résineux, comme la pruche et le pin blanc (3,8, BB170)
• L'espèce peut se retrouver en peuplement pur sur certaines superficies où le bétail a brouté pendant plusieurs années (81)

• 1 : FE1 > RS1
• 2 est : FE1 2 ouest : non disponible

• Semi tolérant (BB58, BB150)
• Meilleure tolérance des semis dans les milieux humides

• Sa coissance lente le désavantage dans les scénarios sylvicoles favorisant une structure équienne des feuillus intermédiaires sur des révolutions de 100 ans ou moins de même que dans les scénarios sylvicoles favorisant les espèces tolérantes à l'ombre (2)
• L'aménagement de l'espèce sur une longue révolution est possible en raison de sa longévité (200 ans ou plus), sa tolérance à l'ombre et sa croissance concurrencielle face aux espèces intermédiaires ou à la suite d'un dégagement (3)
• L'espèce survit au broutage à répétitions au stades semis et gaulis ainsi qu'aux bris de branches et à la sécheresse, quelque soit le stade de développement (2).

• Bon (2)
• Meilleur de tous les caryers (6)

• Système racinaire latéral dense et pivot profond (30 à 90 cm la première année) (3,2,14)
• Après 5 ans, le système racinaire atteint sa profondeur maximale et l'élongation horizontale devient le double de la hauteur totale de l'arbre (2)

• Croissance modérément lente (3,2)
• Est le caryer à croissance la plus rapide (2)

• Rejets de souche abondants (BB150)
• Drageons abondants (2, 6, BB150)

• Le plus prolifique des caryers en ce qui a trait à la production de rejets de souches et de drageons (3,6,2), en particulier après un feu, une sécheresse ou une coupe (BB150)
• Forte propension à produire des rejets de souche lors de perturbations, ce qui le maintient en sous-étage (2)

• Monoïque (3,6,17)
• Fleur unisexuée
• Fleur mâle : châton
• Fleur femelle : grappe (14)

• Majoritairement quelques semaines (P. Lupien, comm. pers.)
• Peut s'étendre jusqu'à quelques mois (3)

• Gravité (BB150)
• Petits rongeurs surtout (2, 3, 4, 6, BB150)

• Près du semencier par gravité (2,4,6)
• Jusqu'à 50 m si transporté par un animal (2)

• Insectes : charançons des noix (Conotrachelus sp., Curculio sp.) (6, BB48)
• Animaux : oiseaux surtout; les noix sont très amères, donc moins recherchées par les mammifères, comme les cerfs (2, 3, 6, BB150)

• Stratification requise
• 30 à 60 jours si stratifié à sec à une température de 0,6 à 4°C

• Mélange de matière organique et de sol minéral (2,6)
• Litière modérément humide (4, BB150): l'espèce est plus tolérante à l'humidité que le caryer ovale (BB150)

• Semer à l'automne à une profondeur de 2 fois le diamètre de la noix.
• Pour des semis à l'intérieur, conserver au réfrigérateur dans un sac de type Ziploc le nombre de jours nécessaire pour la stratification. Utiliser du matériel grossier comme le sable pour le substrat de germination et le garder frais. Transplanter les nouvelles plantules à l'extérieur après la dernière gelée du printemps dans un endroit ombragé. Laisser les semis quelques semaines pour permettre aux feuilles de s'adapter aux rayons du soleil. Pour la transplantation de plants de 2-3 ans, creuser jusqu'à 60 cm de profondeur pour récupérer la majorité du pivot (2 et P. Lupien, comm. pers.).

Stade semis :

• La croissance est optimale si les semis bénéficient du plein ensoleillement ou d'un ombrage partiel de 60 % , tout au plus (2)
• Faible taux de survie sous un couvert dense (BB150)

Stade gaulis :

Stade semis :

• Hauteur de semis égale à 34 cm de hauteur à 4 ans dans un peuplement ouvert ou légèrement fermé
• Hauteur de rejets de souche égale à 28 cm à 1 an (3)

Stade gaulis :

• Croissance en hauteur de 30 cm/an (3)
• Croissance en diamètre de 0,5 cm/an (3)
• Le taux de croissance en diamètre par décade est de l'ordre de 2,5 cm (BB150)

Stade semis :

Stade gaulis :

Stade semis :

• Insectes : peu de dommages
• Maladies : anthracnoses (Apiognomonia caryae), moisissure blanche (Microstroma sp.) et taches de feuilles (Marssonina juglansis, Gnomonia caryae, Septoria sp.) (6, BB50, BB88).
• Animaux. L'aptitude de l'espèce a faire de nombreux rejets fait en sorte que les semis et les gaules tolèrent bien le broutage des cerfs (BB150)

Stade gaulis :

Stade semis et gaulis :

Stade gaulis :

• Reprend bien même s'il est brisé de façon significative
• Tolérance élevée à la sécheresse (2,3,6, BB58)
• L'aptitude de l'espèce a faire de nombreux rejets fait en sorte que les semis et les gaules tolèrent les stress causés par le bris, la sécheresse et le feu (BB150)

• Insectes : scolyte du caryer (S. quadrispinosus), en période de sécheresse surtout (BB58).
• Maladies : pourridié-agaric (Armillaria ostoyae) sur les stations xériques ou mal drainées (6), de même que dans les stations où le sol a été compacté; chancre nectrien (Neonectria galligena) (BB51); champignons de carie (Phellinus igniarius surtout) (BB51).

• Plus tolérant au gel printanier tardif (pousses annuelles) que les autres caryers (BB50).
• Tolérance aux basses températures: 4,8 / 5 sur l'échelle de Bakusis: 1 : très résistant, 5 :peu résistant (BB204).

• Modérée (14,81)
• Les racines se développent mieux dans un sol aéré que compacté (3)

• Modérée à élevée (14)
• Les dépôts atmosphériques nuisent au développement et à la présence de champignons ectomycorhiziens qui facilitent la croissance des caryers sur les sites où il existe un déficit en azote minéralisé (2)
• Ozone : inconnue (BB114)

• Résistance élevée au dépérissement consécutif à l'ouverture du couvert (6)
• Résistance faible du bois de cœur à la pourriture (2)

• Tronc : castor
• Ramilles et écorce : lièvre, petits rongeurs (2,6)

• MOR : 21 160
• MOE : 2 690 (19)

• 1re transformation : sciage (bois de grade et de palette), pâte et excellent bois de chauffage (BB165, BB170)
• Produits à valeur ajoutée : ébénisterie (meubles, manches d'outils, roues, équipements de gymnastique), instruments aratoires, matériaux de construction (planchers), caisses d'emballage avec le bois de moindre valeur (2, BB170)

• Sciures, copeaux, retailles, charbon de bois, fumage de la viande (2, BB150, BB165)
• Noix : fabrication d'huile à lampe (3)

• La raréfaction progressive de cette espèce dans les érablières (BB191) est en partie attribuable à la coupe sélective des tiges de grande valeur qui s'est effectuée pendant longtemps au profit d'autres espèces plus tolérantes à l'ombre, comme l'érable à sucre et l'érable rouge (BB149)
• L'espèce est associée au domaine de l'érablière à caryer et profite des endroits bien protégées des vents froids du nord: au dela de cette limite elle est associée aux milieurs calcaires (BB108)