Vous aimez les photos noir et blanc ? Le patrimoine du Québec vous intéresse ? Vous êtes au bon endroit pour découvrir tous les trésors d’une collection de livres de photos, en noir et blanc, traitant du Québec au siècle dernier.
Avec vingt-quatre titres publiés à ce jour, sur des thèmes aussi variés que l’exploitation forestière, l’avènement de l’hydroélectricité, les débuts de l’aviation, l’importance du train ou encore la vie rurale au Québec, vous trouverez plus d’un titre d’intérêt pour vous.
Remontez dans le temps grâce à cette sélection de photos avec légendes tirée d’ouvrages de la collection Aux limites de la mémoire! Découvrez des évènements importants de la vie publique, mais surtout, la petite histoire de tous ces gens qui ont été nos parents, nos grands-parents et nos arrière-grands-parents.
Les emplois à bord des trains de passagers ou comme porteurs sont parmi les rares qui soient offerts à la minorité noire du Canada. Le métier de porteur se transmet de père en fils, émigrés des Antilles ou des États-Unis.
Tiré de Au rythme du train (1859-1970)
Durant cinquante ans, la compagnie Allan a détenu le monopole du transport des passagers et des immigrants entre la vieille Europe et l’Est canadien. Elle a bénéficié de la décision du Canada d'ouvrir toutes grandes ses portes à l’immigration.
Tiré de Naviguer sur le fleuve au temps passé (1860-1960)
J.-B. Laliberté, manufacturier de fourrures de Québec, a été fait membre honoraire du conseil de bande des Hurons-Wendats en raison de son importance comme client. Pour les trappeurs, ce titre honorifique est donné aux visiteurs de marque et aux bienfaiteurs de la nation.
Tiré de Sur la trace des amérindiens (1863-1960)
Le colonel et nationaliste canadien Sam Hughes est fier de présenter la MacAdam, une pelle qui sert de bouclier au soldat observant l’ennemi à travers un orifice percé dans son coin supérieur. Mais, les soldats la trouvant trop lourde, elle sera délaissée.
Tiré de Le Québec et la guerre (1860-1954)
En 1914, Jean-Marie Landry, originaire de Québec, devient le premier Québécois francophone à obtenir un brevet de pilote, et le septième Canadien officiellement breveté de l’histoire. Diplômé en France, l’ancien mécanicien automobile émerveille les citoyens de Québec par ses prouesses acrobatiques à son retour.
Tiré de Aventures aériennes (1910-1960)
Quel effet dut avoir le jardin de George Washington Stephens sur les passants de la rue Sherbrooke! Protégé du vacarme de la rue, ce jardin est abrité par un haut mur de pierres, un imposant portail de ferronnerie et une vigne soigneusement entretenue.
Tiré de Des jardins oubliés (1860-1960)
Le plus jeune a besoin d’un manteau pour aller à l’école ? La mère parviendra à le tailler dans le vêtement usé de l’aîné. Ce travail exigeant calme et concentration est souvent exécuté en soirée. Et les enfants s’endorment, bercés par le ronron du « moulin à coudre ».
Tiré de Aux limites de la mémoire (1900-1930)
L’architecture devait s’adapter aux contraintes attribuables à la densité de l’habitat et à la cherté des terrains en ville. Pour répondre aux besoins urbains, une solution originale émerge, celle des modestes duplex, type d’habitat urbain absent des métropoles qui se sont urbanisées à la même époque que Québec.
Tiré de Quartiers ouvriers d’autrefois (1850-1950)
Dans les années 30, les clercs n’enlevaient leur soutane que pour se coucher. Cet accoutrement n’était pas des plus commodes pour faire de la raquette ou du ski. On ne se privait pas pour autant de pratiquer certains sports, dans le respect des convenances.
Tiré de Les voies du passé (1870-1966)
Les élèves des diverses institutions gérées par les Sœurs grises assistent à la messe du deuxième centenaire de la communauté à la chapelle de la maison mère, rue Guy.
Tiré de Les années pieuses, (1860-1970)
Dès 1920, le gouvernement fournit aux cultivateurs des plans de grange faits par des experts. Ainsi les structures sont à la fois solides et fonctionnelles. L’adoption de nouvelles techniques de construction n’élimine pas les rites traditionnels dont la pose d’un sapin à la fin des travaux.
Tiré de La vie rurale (1866-1953)
Le 12 juillet 1940, le gouvernement fédéral annonce que tous les hommes célibataires le 15 juillet seront mobilisés pour la défense du Canada. Pour certains, le mariage représente une porte de sortie. Il s’en suit une course folle au mariage partout au pays.
Tiré de Œuvres de femmes (1860-1961)
En 1940, les bombardiers allemands larguent plus d’un million de bombes en deux mois sur Londres. Allié de l’Angleterre, le Canada craint des représailles de la part de l’Allemagne. Ainsi, les pompiers des villes comme Montréal sont formés pour être capables de réagir à une attaque.
Tiré de Policiers et pompiers en devoir (1851-1977)
Quand la bête à patate menace les plants et que les poudres chimiques ne suffisent plus, il ne reste qu’une chose à faire, on s’y met en famille.
Tiré de Entre campagne et ville (1940-1950)
Dans les années 1930, le clergé catholique met sur pied l’OTJ, l’Œuvre des terrains de jeu, dans le but de rassembler le plus grand nombre possible d’enfants pour les protéger contre les dangers moraux de la culture de masse, surtout en milieu urbain.
Tiré de Au pays de l’enfance (1861-1962)
Voilà une scène qui réunit deux piliers de la politique québécoise : l’avocat Jean Drapeau et le journaliste René Lévesque. Ce 25 octobre 1954, les différents candidats à la mairie de Montréal concèdent la victoire à Jean Drapeau à 22 h 40.
Tiré de Vivre Montréal (1920-1969)
La construction de Manic-5 suscite beaucoup d’intérêt, car il est le plus grand barrage à voûtes et contreforts du monde. Symbole identitaire fort, il a été renommé barrage Daniel-Johnson en l’honneur du premier ministre du Québec décédé sur les lieux, la veille de l’inauguration en 1968.
Tiré de L’aventure de l’électricité (1880-1963)
Autrefois, toutes les opérations forestières étaient évaluées en cordes de bois. Le bûcheron était payé selon le nombre de cordes qu’il avait abattues. À propos, saviez-vous qu’une corde de bois mesurait 4 pieds de hauteur, 4 pieds de largeur et 8 pieds de longueur, ou 128 pieds cubes ?
Tiré de Des forêts et des hommes (1880-1982)
Jusqu’au milieu du XXe siècle, le laitier distribue des bouteilles de lait et autres produits laitiers dans une voiture tirée par un cheval, en ville comme à la campagne. En Mauricie, la Crèmerie des Trois-Rivières ne met à la retraite son dernier cheval qu’en 1966.
Tiré de Plaisirs gourmands (1885-1980)
En 1972, Marcel Pelchat est le premier à faire des métamorphoses beauté à la télévision, en montrant le résultat de transformations-minute (coiffure, maquillage et vêtements) au cours de diverses émissions présentées sur le réseau TVA ainsi qu’à Radio-Canada.
Tiré de À la mode de chez nous (1860-1980)
Un requin a été hissé sur le pont d’un chalutier. Ces prises occasionnelles, de par leur taille et leur dentition, font de sérieux dommages aux filets. Cela ne semble pas trop inquiéter les pêcheurs occupés à jeter dans les cales le sébaste pavant le pont du navire.
Tiré de La mer nourricière (1890-1972)
La coulée boueuse a tué 31 personnes, mais les équipes de secouristes n’ont récupéré que 18 cadavres. Peu après la catastrophe, le premier ministre du Québec a annoncé la fermeture du village, décrété « zone sinistrée permanente » le 1er janvier 1972.
Tiré de Les malheurs d’une époque (1859-1979)
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